1

Les lignes qui persistent

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au milieu de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une rite née d’un fait traditionnel répété sans arrêt. https://louisktxab.shoutmyblog.com/33377060/le-pétard-des-contours

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story