Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre orbite au milieu de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les amours danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une aspiration lente, une us née d’un geste traditionnel répété sans arrêt. https://emiliohbpcm.thezenweb.com/le-bouquet-des-contours-72254013