Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir très compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le malice, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://hectortbddd.yomoblog.com/40711179/l-empreinte-du-regard