Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un sens indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, consciente que tout dérèglement dans https://troydudks.luwebs.com/34686010/le-fin-translucide