Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient jouxtant la carcasse rouillée d’une antique cabine téléphonique. Posée seule au minimum d’une allée oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une sirène brisait https://eduardobxmbf.tokka-blog.com/34153585/la-cabine-du-septième-date