La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste dans l’ombre tamisée de son fabrique. Son métier à enjoliver, fidèle animal de compagnie de ses prédictions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses mains. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, à https://fernandokuzfj.tkzblog.com/33597801/l-étoffe-notoire